Vacances Impossibles (TV)

[modifier] Fiche technique

  • Réalisé par : Paolo Barzman
  • Montage : Arthur Tarnowski
  • Écrit par : Joseph Mallozzi ; Paul Mullie
  • Adaptation française : Dimitri Botkine
  • Avec : Paolo Seganti (Largo Winch) ; Sydney Penny (Joy Arden) ; Geordie Johnson (Georgi Kerensky) ; Serge Houde (John Sullivan) ; Charles Powell (Michel Cardignac) ; Michelle Lipper (Marissa Green) ; Béla Grushka (Francine Bergeron) ; Peter Hudson (Richard De Gasse) ; Vincent Luna (Hector Mureille) ; Harvey Vincent (Claude Roux) ; Sonia Benezra (Alicia Del Ferril) et Tyrone Benskin (Waldo Buzetti) figurent au générique de fin mais n’apparaissent pas dans l’épisode.

[modifier] Résumé détaillé

Un homme dans sa voiture roule très vite et a l’air paniqué. Pendant ce temps, Largo et Joy sont en France pour un pique-nique : le fils Winch semble très attaché à la nature et essaye de convaincre Joy de se laisser aller. A ce moment-là un grand bruit retentit : il s’agit de l’homme en voiture qui a eu un accident. Largo se rend sur les lieux et l’inconnu, blessé par balles, lui dit qu’il est Claude Roux, l’homme qu’il devait rencontrer 3 quarts d’heure après, et lui demande de prendre sa mallette et d’aller voir Francine Bergeron. Des hommes armés arrivent et Largo prend la fuite, accompagné de Joy. Un des hommes contacte son chef, et lui signale que la mallette a été prise par 2 inconnus : le chef lui ordonne alors d’utiliser la police, étant donné qu’elle est de leur côté. Dans les bois, Joy et Largo se cachent pour échapper à leurs poursuivants. A New York, Sullivan croit que ses fichiers informatiques sont piratés et en parle à Kerensky. Largo et Joy, toujours dans la forêt, arrive à une route et voit une voiture de police arriver : ils sont soulagés mais un des hommes armés est avec les policiers. Ils comprennent que ces derniers sont de mèche et prennent la fuite. L’homme armé tire sur Largo mais la balle ricoche sur la mallette, apparemment très solide. Largo et Joy décident d’aller voir Francine Bergeron le lendemain, après avoir dormi pour récupérer. De l’autre côté de l’atlantique, Kerensky repère un micro dans le bureau de Sullivan mais ne l’enlève pas pour pouvoir remonter jusqu’à la source. Pendant ce temps les hommes armés attendent le jour pour coincer Largo et Joy. A l’aube, ceux-ci se réveillent et réussissent à voler une carte de la région dans une voiture de la gendarmerie : ils repèrent ainsi la ferme de Francine, comme l’a indiqué Claude Roux, et s’y rendent. Mais la gendarmerie est déjà sur les lieux : heureusement, Francine a pu partir avant leur arrivée. Elle menace Largo et Joy, en train d’observer les gendarmes, avec son fusil. Largo lui révèle son identité et lui apprend que Claude Roux est mort : elle décide alors de les aider. Elle leur confie qu’elle a reçu il y a peu de temps une lettre de Claude avec une photo qu’elle devait garder précieusement. Intrigué, Largo parvient à aller chercher la photo : il croit voir une tache dans un des yeux de Claude mais il faut qu’il agrandisse l’image pour en être sûr. Francine les informe qu’il y a un scanner à la gendarmerie, et ils s’y rendent sans plus attendre. Celle-ci est déserte, toutes les voitures étant parties à leur recherche : Largo découvre qu’une micro-image a été intégrée dans la photo. Ils apprennent que Claude travaillait une céramique très résistante et indétectable, mais il a découvert que l’homme qui lui donnait des fonds, un certain Degas, était un trafiquant d’armes : Claude a donc caché les plans techniques dans la photo et aussi dans d’autres micro-images qui se trouvent dans la mallette. Au passage, Joy envoie un message à Kerensky pour qu’il envoie la cavalerie. Alors qu’ils veulent repartir, les hommes armés arrivent et une fusillade s’en suit. Joy dit à Largo de sortir avec Francine par derrière, ce qu’ils font. Mais Degas arrive et leur demande la mallette : voyant qu’ils ne l’ont pas, il ordonne à Joy de sortir. Celle-ci le fait et propose un échange : la mallette contre Largo et Francine. Ils commencent à partir mais Degas ouvre la mallette et voit qu’il n’y a rien dedans : il les rattrape et ceux-ci sont obligés de lui révéler le secret des micro-images. Heureusement la police anti-terroristes arrive (prévenue par Kerensky) et neutralise tout le monde. Pendant ce temps, A New-York, Kerensky a branché un appareil sur le mouchard dans le bureau de John : le dispositif envoie au récepteur du signal une forte impulsion qui risque de faire surchauffer les circuits. Peu après John croise Cardignac dans les couloirs qui l’informe que sa nouvelle Bugatti a explosé sans explications : Sullivan se rend compte que celui qui écoutait était Cardignac et le menace pour qu’il ne recommence jamais.

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